Titre du périodique : | Le Mercure de France |
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Supplément : | |
Nom de l'auteur : | Henry, Durand-Davray |
Signature : | Henry-D. Davray |
Titre : | |
Titre du texte - poème ou chapitre : | |
Titre de la rubrique : | Revue de la quinzaine |
Sous-rubrique : | Lettres anglaises |
Type de texte : | Compte rendu - Revue des revues |
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Illustration : | |
Nom de l'illustrateur : | |
Numéro de page : | 299-304 |
Nombre de pages du fascicule : | |
Pages 1 à fin du fascicule au sein de la tomaison : | 161-320 |
Date de parution du fascicule : | 15 novembre 1905 |
Mots-clés : | Swinburne - Robert Bridges - Laurence Binyon - Henry James - Arnold Bennett - Oscar Wilde - traduction - Albert Savine - Gabriel Mourey - Francis Viélé-Griffin |
Editeur en France : | |
Titre de la publication anglais dont est extrait le texte : | |
Périodique de première publication : | |
Date de première publication en Grande Bretagne : | |
Mention d'une première publication : | |
Date de première publication en France : | |
Lien : | https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k105532w/f139.image
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Commentaires : | Davray argumente sur la difficulté à traduire de la poésie; malgré tout, certains ont traduit avec succès, selon lui, les vers de Swinbrune ( Albert Savine, Gabriel Mourey, Francis Viélé-Griffin). Il poursuit sur les traductions de Wilde, effectuées par G. Khnopff, H. Rebell [et lui-même], dont la dernière, celle du Crime de Lord Arthur Saville, par A. Savine. |