Titre du périodique : | Le Mercure de France |
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Supplément : | |
Nom de l'auteur : | Henry, Durand-Davray |
Signature : | Henry Durand-Davray |
Titre : | |
Titre du texte - poème ou chapitre : | |
Titre de la rubrique : | Revue de la quinzaine |
Sous-rubrique : | Echos |
Type de texte : | Réponse |
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Traducteur : | |
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Traducteur originel : | |
Illustration : | |
Nom de l'illustrateur : | |
Numéro de page : | 633-638 |
Nombre de pages du fascicule : | |
Pages 1 à fin du fascicule au sein de la tomaison : | 481-640 |
Date de parution du fascicule : | 15 août 1905 |
Mots-clés : | Oscar Wilde - Joseph Renaud - Davray - traduction - Robert Ross - H. G. Wells - Louis Barron |
Editeur en France : | |
Titre de la publication anglais dont est extrait le texte : | |
Périodique de première publication : | |
Date de première publication en Grande Bretagne : | |
Mention d'une première publication : | |
Date de première publication en France : | |
Lien : | https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k105527f/f153.image
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Commentaires : | Davray s'explique quant à la publication de De Profundis de Wilde, et traduit une lettre de Robert Ross à cet égard, rappelant que l'ouvrage n'est pas le manuscrit intégral. Puis, il répond à J. Joseph-Renaud suite à son article faisant état d'une mauvaise traduction de ce dernier (Intentions de Wilde). Retour, également, sur son expérience de traducteur auprès de Wilde, puis de H. G. Wells. |